dans la bibliothèque de la maison[s]témoin, La Nuit de Gigi de Dominique Dussidour

. . Gigi n’est pas le personnage principal. D’ailleurs on ne la suit pas tout de suite. C’est parce qu’elle se trouve à une intersection, un nœud, comme ceux que font les plantes-lianes à l’endroit où ça se resserre et où ça repart en tiges et en vrilles, poussé par la faim de trouver la … Continuer la lecture de dans la bibliothèque de la maison[s]témoin, La Nuit de Gigi de Dominique Dussidour

Treize

    non la superstition, non c’est non – je finis la « Cérémonie des adieux » (du moins la première partie – la suite concerne des entretiens que Simone de Beauvoir a mené avec son Sartre (c’est son Sartre, ça ne se discute même pas) déchirant – pas un mot sur Aldo Moro en 78, bizarre … Continuer la lecture de Treize

mais qu’est-ce que t’attends ?

    Un index qui commence par Chantal Akerman ne peut pas être complètement inutile (vu qu’il s’agit d’une des cinéastes préférées du rédacteur, tous genres confondus). Je m’aperçois d’ailleurs écrivant cette italique que n’y figure pas la mère de l’auteure/trice (à moins qu’elle ait dicté les choses et qu’ensuite elles aient été mises en … Continuer la lecture de mais qu’est-ce que t’attends ?

Nurith Aviv, ou l’image de « Daguerréotypes »

    Un billet qui sort de l’ordinaire (s’il y a un ordinaire) parce qu’il retrace pour le lecteur (ou la lectrice) la fin d’une soirée dans un cinéma (c’était dimanche dernier, 13 octobre 2019). Ça se passe à Beaubourg, dans la petite salle, le public (un peu clairsemé) a eu droit à la projection … Continuer la lecture de Nurith Aviv, ou l’image de « Daguerréotypes »

Cléo

    Repasser en une ce billet sur Cléo (cette merveille) (entendu dans le poste madame Varda indiquer que le film s’appelle « de 5 à 7 » alors qu’il ne dure qu’une heure et demie « peut-être pour donner un côté coquin » au titre. Peut-être). En tout cas, vendredi dernier, je crois bien vers 11 heures, on … Continuer la lecture de Cléo

Geneviève, Delphine, Lola, Jacques et les autres

      Il y a cette émission de télévision (je crois, je ne sais plus, je ne sais  pas et c’est égale) si, c’est sur arte (association relative à la télévision européenne dit l’acronymie : post-titre, certainement, il doit y avoir un bureau de crânes bouillants qui élaborent ce genre de titres, sans doute … Continuer la lecture de Geneviève, Delphine, Lola, Jacques et les autres

Cacher ces yeux que je ne saurais voir

  La manière a changé mais pas cette sorte d’amour qu’on porte à cette espèce d’art (le 7° (et le 8° aussi) / ces classements, numérotations, catégories et tentatives de mise en place de rangement de toutes les activités humaines, dans le but d’en tirer profit (ce mot de terreur) ont toujours quelque chose d’obscène). … Continuer la lecture de Cacher ces yeux que je ne saurais voir

Maison rose

  Pour le blanc, on repassera; ce n’est pas qu’on soit imperméable aux divers événements dégradants de ces jours-ci, l’entre-deux-tours comme on dit » la trêve des confiseurs » ou « le mois du blanc », non; ce n’est pas non plus que m’agrée cette espèce d’alternative entre une peste brune qui se prénomme de nos jours d’une autre … Continuer la lecture de Maison rose

Femmes cinéma addenda Panthéon

Addendum aux addenda : j’apprends à l’instant que Christiane Taubira vient de quitter cet ectoplasme qu’on nomme un gouvernement : ici donc lui est dédié ce billet parce qu’on sait qu’elle incarne quelque chose comme l’état de droit, et que ce quelque chose est désormais une illusion au sein de cette instance qui prône l’urgence … Continuer la lecture de Femmes cinéma addenda Panthéon