en réalité (?) ça m’est assez égal : le fait que les billets d’ici se taisent depuis le 16 décembre – je fais revivre cette affaire – en réalité (encore ?) je (me) dois de poser un billet par semaine – le verbe de la phrase précédente est à expliciter (la parenthèse en éprouve le sens) (je regarde en arrière : position le 17 mai 2015 – premier article (est-ce bien un nom, un attribut, une dénomination ?) 13 mai 2015 – bientôt dix ans : continuons – sans doute cela ne sera-t-il pas publié ailleurs (nous verrons) (cette parenthèse pour l’éventualité du lien – il semble que ce soit par ces liens que se construise quelque chose de la culture contemporaine – de son existence même puisque harassée torturée vandalisée de toutes parts et notamment du côté de celle des institutions qui nous (nous autres contribuables) appartiennent cependant (car, au fond qui a élu la du machin sinon 37% des un peu moins des 70% des légitimes votant.es – soit 19% du corps électoral – pays de Loire, quand vous nous tenez… – lequel ne constitue certes un corps qu’aux yeux d’une comptabilité insigne je reconnais – mais je regarde : un sur cinq : ah bon c’est suffisant ? eh ben mon colon – je ne veux pas aller voir chez le type (obscène, indigne, abject) de Rhône-Alpes aux mêmes fonctions) (je ne nomme pas l’immonde)
mais un.e sur cinq putain réveillez-vous !!!
sur ce, je continue donc : ici quelques images en hommage à Olivier Hodasava qui demandait qu’on lui fête Noël – ce jour-là le Chasse-Clou publiait une image d’un immeuble qui aurait pu être l’illustration (disons) d’une espèce de fantasme de celui servant d’appui à G org s P r c ( dans la réalité – mais ma sœur vivait alors rue de Chazelles, mon ami AT m’avait averti « ce livre est formidable, lis-le ! » m’exhortait-il – plus tard, quelques mois je crois, j’avais refusé d’être le parrain de sa fille – pourquoi ? je ne me sentais pas capable de la secourir par mauvais temps – ça n’aurait rien changé, vu d’ici sinon qu’à eux, j’aurais été lié et q’à présent je ne le regretterai sans doute pas – les regrets sont toujours inutiles cependant – j’avais, et j’ai toujours, partie liée avec cet écrivain – peu importe sa notoriété) – j’ai regardé cette image
et elle me disait quelque chose (un flirt de ces années-là 73-74 style y vivait – une fête – la nuit la danse la joie l’alcool le reste tout est possible – le matin tout est accompli) cet immeuble même (ou alors un autre de cette même rue) (mais celui-là oui) et regardant posément cette image, j’y vis
le voilà de jour: droite cadre, en bas
une boite aux lettres (on se dépêche : bientôt ce type d’équipement urbain et public aura corps et âme disparu): ici l’image date de 2010, la voici en 12
un papier sur le dessus;plus haut une décoration d’art de la rue – on ne voit pas bien, c’est noir, ça brille – ça a un peu de couleurs – art est un mot assez lourd en l’occurrence – mais ne soyons bégueule, disons qu’il s’agit d’un tableau de rue – en 14, il a disparu
le pékin pose bras croisés; le jeune garçon va à l’école; on voit du tableau la colle qui l’assujettissait – plus tard (16)
ah oui – rose- augmenté d’une petite enjolivure (on ne voit pas bien même de près
la voiture a manqué le depôt d’article d’art (probablement B2TS: c’est son format – de plus la boite aux lettres est un de ses tropismes), et il fut vandalisé rapidement supposons – plu tard revint le jaune (16) et les graffitis nettoyés
voilà tout (18) – ici étude en jaune sans doute (20 : on reconnaît un des masques dont on n’avait pourtant pas eu la possibilité de se munir lors de la première des confination covid 19)
plus tard encore (22)
nettoyée (24) puis re-rédigée
encore à nouveau
et pour finir ces magnifiques plaques corporatistes
la psychothérapie AUSSOLEIL comme un F A R donnant toutes assurances – que la vie serait belle s’il suffisait seulement de se fier à ce que nous conte la rue (serait-elle de Lancry) dans la nuit de nos imaginaires
merci de la balade temporelle, je vais me recoucher avé plein de fenêtres ouvertes…
et je vais réaliser pour vous deux les mots » pour l’éventualité du lien «
Alexia, Brigitte : merci à vous (tous mes vœux – carte suit)