ces images parvenues par la poste pendant ces mois-ci – cette façon de cesser les activités plus ou moins laborieuses afin de remettre la charge aux batteries permettant ainsi de reprendre mieux lesdites activités (la métaphore électrique frappée au coin de la plus contemporaine convention) – les congés payés – le rythme du monde que je préfère l’oublier, je préfère fermer la radio – (auto-fiction : je fais des efforts pour perdre ma brioche (je n’en mange plus, de ce fait)) – je fatigue, je ne vois pas l’intérêt mais je n’agis que peu par intérêt, plus par besoin ou nécessité (auto-fiction deux : j’ai appelé mon avocate (elle ne m’appartient pas, cependant) au sujet de la moquette – on peut dire que cette affaire m’aura bien pourri la décennie 20, punaize) (elle n’en est qu’à la moitié, je sais bien – la décennie pas la moquette ni encore moins l’affaire – la partie adverse, représentée par un raison, est plutôt hypocrite mais perdra – le tout sera de savoir quand – j’ai bon espoir, comme on voit) – alors voilà
de la villa Deroze – sans autorisation de Caroline Diaz, une esquisse dans les bleus d’un de ses magnifiques cyanotypes – puis, avec l’accord de l’opérateur
une espèce de photogramme (captured’écrantogramme) et desfleurs (ici dues à HC)
puis à Kik (une fois)
puis deux (sous le lien la 61° minute papillon – magique, tout simplement)
une parmegianatta dûe à E.
(on en mangerait hein) un profil de l’amante du Plossu (retrouvée dans le nino, je ne suis pas certain de ‘lavoir portée dans les deux épisodes (ici et là) du pont de la Chapelle)
(si, il y est mais sans le graphisme) (auto-promo) et puis la plage (HC encore)
c’est en Galice – on ira on tentera on ira – on aime voyager – on aime aussi jouer : ici le cadeau trouvé en brocante par E. et L.
puis Lara la nouvelle amie de H. (amie portugaise)
qui me fait souvenir du dalmatien de mon oncle (Adémar – il avait un ami qui se nommait Alix, car mon oncle avait deux dalmatiens – l’époque déterminait la possession de ces animaux – début des années soixante – la mode en revient) trop mignonne en tout cas – puis attendu avec une certaine impatience
et enfin cette image difficile à comprendre d’un homme en costume de miroir qui entre dans le restaurant Président en haut du faubourg
(vu de loin disparaissant au coin de la place, pas réussi à le capturer)
courage surtout pour la suite