le truc c’est que ça commence par Freaks et j’ai une tendresse particulière pour ce film-là – d’autres (hein) ce serait La nuit du chasseur – mais j’aime aussi beaucoup dans la série des trahisons La nuit des forains (Ingmar Bergman, 1953) – quel(s) cirque(s)…
je me prends les pieds dans le tapis : je déteste les palmarès, les classements, les étiquettes (sociologue un jour sociologue toujours ou pour un temps seulement ? qui nous (m’)oblige à compter ? ) – pas d’idée – ce sont les cent meilleurs films d’horreur si je comprends bien – je vais laisser ça dans les détritus (ça fait ventre)
cette image-là
(ce type d’injonction vient directement des us – la guerre, les blancs, assez âgés l’argent) (donne envie de gerber) suivi de ce vade-mecum du critique pour eux
donne envie de gerber aussi – pourquoi s’en encombrer ? – et puis la liste des cent films « les meilleurs du monde » – cette façon de classer, d’entretenir la concurrence, la position, la domination – je les pose là je reviens dans une heure le temps de compter
puis
encore
et pour finir
Non je ne compte pas exactement mais étazunien mortellement (les titres sont tous en anglais remarque bien) – deux femmes réalisatrices (y’a pas de quoi pavoiser, comme disait flambi ce traître) – le numéro 90 quand même ? à peine allons… (j’ai l’impression qu’il y a tout Lynch) (j’aime beaucoup le 34)






Une réflexion sur « l’horreur »