le premier billet (dans la salle de bain, Burty aka le prince dit au curé « allons mon père passez moi cette serviette ! » et puis « vous avez l’habitude de voir les âmes nues, ce ne sont pas les corps qui vont vous faire peur » ou quelque chose d’approchant) date de 2015 – 17 mai dit la machine (et qui suis-je pour mettre en doute de telles affirmations ?) (en fait, c’est du 2 juin que date ce billet – le premier, 17 mai 2015, a pour objet Kiss me deadly). Décision fut prise (plus ou moins) pour les dix ans d’établir un index des billets. Après il est facile (enfin, c’est une litote: plus de 400 titres…) d’en établir la liste, mais comment ranger ? quel ordre adopter ? alphabétique ? chronologique? pour s’y retrouver ? pour s’y perdre? je n’ai pas choisi encore mais je n’ai pas posé de liens – ordonner ordonner… le sentiment qu’il s’agit d’un outil utile personnellement, égoïstement : en tout cas c’est fait.
Égoïstement parce que j’aurais pu prendre en compte tous les articles (après tout, (je m’informe) mais il y en a quand même plus de 700 – ça fait du boulot… mais ça ne m’aurait pas effrayé, pas plus que ça, seulement je n’ai pas commencé au début – j’aurais pu rependre etc. Mais en vrai non).
En gras, on trouvera les (titres des) films chroniqués – puis (s’il y a lieu, c’est pratiquement toujours le cas) et ouvrant une parenthèse, le patronyme du ou de la réalisateur/trice l’année de sortie, la parenthèse refermée. Ensuite, vient le titre du billet. Pour y accéder copier ce titre-là et le poser dans la case « rechercher » de la page d’entrée de blog.
Ce serait déjà compliqué mais en réalité, c’est le cas courant pour le cinéma.
Pour les autres rubriques, il faut copier le premier titre et procéder de la même manière.
Ergonomik isn’it ? Bah c’est comme ça.
J’ai inséré des dates (notamment celles de l’épidémie covidiote de 2020 et des réclusions afférentes, calées à droite.
Je n’ai pas trouvé de billet au treize novembre quinze (ou 14 ou 15) mais je n’avais pas, alors, pris des aises vis à vis du cinéma ici (parfois le cinéma me fait prodigieusement braire – ce n’est pas que je ne l’aime pas, mais il m’apparaît comme une espèce de vitrine abjecte d’un certain système dégueulasse (culture du viol, masculinisme, patriarcat, capitalisme j’en passe… mais ça fait pas mal dans la barque) . Je le préfère autre qu’étazunien (le système en question vient en ligne (d’extrême) droite de ce pays) (un dégoût profond mais des films magnifiques cependant (il se peut que , pour la plupart, ils soient le résultat de personnes immigrés – Laura du preminger est sur la table : un exemple entre mille – mais cette distinction ne m’appartient pas, je ne l’aime pas non plus, je n’aime pas le nationalisme, la patrie et toutes ces affaires plus ou moins baignées d’un sang coagulé et mort).
Pour le moment, le lien renvoie à un document par ordre chronologique – j’ai décoquillé relu réétabli relu mais ce n’est pas achevé.
Je le pose là. Avec mes compliments.
Mais c’est impressionnant !!
Je n’imaginais pas la taille de cette liste (et c’est pas rien)