pour fixer les idées (mais ça ne sert pas à grand chose, elles sont toujours assez mobiles et oniriques) ça se trouve là (sud de l’Inde)
zoum arrière ?
je garde une espèce de curiosité pour les endroits éloignés et pour moi inaccessibles, incapable que je suis de m’en aller ailleurs – je déteste partir mais j’aime assez revenir – comment est-ce, en images, Jaffna (ex-Ceylan, Sri-Lanka) ?
des commerces
un peu comme on en trouve en Afrique ou à Barbès
comme partout sans doute
juste à quelques milliers de kilomètres – le métro marque un terminus à Louis-Blanc – d’ici trois ou quatre stations – (non loin de chez les époux Diaz) on marche un peu le long de la rue (il y a là la boutique des 4 frères Bedri – grecs, turcs, maghrébins quelle importance ?
plus loin, on croisera
cette exposition de B2TS (répertoriée, certes) (3 épisodes quand même…)
puis encore plus loin, on se retrouvera dans Little Jaffna (entre ici et la station de métro la Chapelle
c’est un territoire vaguement dévolu aux Tamouls et autres Sri-lankais) – le quartier formé de quatre rues (Cail, Perdonnet, Louis-Blanc, Philippe de Girard)
augmentées du faubourg à l’ouest – petit quadrilatère, presque carré, restaurants délicieux – et autres commerces, ici le bien nommé (supposé-je)
là autre chose (bien français ?)
et puis d’autres encore
celui-ci que j’aime bien
ces autres encore
et puis (on n’en finirait jamais) (pommes de terre/oignons)
et enfin l’officine dévolue aux achats à emporter (revenant de Louxor)
tout ça pour présenter et tenter de chroniquer en ville & cinéma le Little Jaffna premier film (2024, policier, semble-t-il, assez sanguinolent) d’un certain Lawrence Valin