le titre du billet est aussi celui d’une chanson de Françoise Hardy (bof)
L’image d’ouverture appartient au film
générique commence à devenir une espèce de série (y’en a déjà trois) (ça fera quatre) dans cette maison (quand même en serait-elle témoin) ça ne peut pas nuire, je suppose, mais ça fatiguera sans doute – on verra bien – c’est d’abord une partie importante du cinéma parce qu’elle ressort du droit : c’est un exercice obligatoire pour n’importe quel film – et ça en dit assez long sur la façon dont la production et la réalisation envisagent le cinéma, souvent – certains n’en n’ont juste rien à faire; d’autres les soignent : c’est le cas ici – c’est d’ailleurs un film fait avec soins, ça me plaît qu’on ne violente pas le cinéma – par ailleurs encore, c’est difficile de trouver le générique d’un film si on ne dispose pas d’une copie – et je n’ai pas énormément de copies de film à la maison si tu veux – ici il s’agit d’un court métrage, le titre est repris d’une chanson, lequel est le titre du livre écrit par le héros – un livre à succès semble-t-il (un best-seller, peut-être : en tout cas, il se trouve dans le wtf cultura de Cormellain (sous le lien, la chronique pour Ville&cinéma donnée à l’aiR Nu) – ville probablement fictive (on a demandé d’éclaircir ce point en haut lieu, il n’a pas daigné répondre) (l’auteur du livre (qui est aussi l’un des deux premiers rôles du film) a semble-t-il était reçu chez un histrion du petit écran, ancien journaliste sportif, le gendre idéal disait-on à un moment mais là il commence à prendre trop largement de l’âge pour prétendre à ce rôle…) – normande (trois cents kilomètres de Paris, comme les 300 pages du roman du Julien…) – dotée d’un hyper-marché et d’une piscine à vagues…)
dans le film, le générique de début fait apparaître quelques images et au son la chanson chantée (paroles édifiantes – on en entend deux couplets, merci…)
les diverses graphies deviennent jaunes à mesure que se déroule le générique (très joli effet)
(c’est pourquoi, parfois, on verra sur ces images une espèce de film jaune avancer de gauche à droite sur les lignes, les mots)
(le film a été projeté diffusé sur arte – l’est encore je crois bien – jte mets le lien – jl’aime bien)
ils et elles chantent encore
mettons qu’il s’agisse du générique de début (à la mode contemporaine : les financeurs d’abord
les autres on s’en fout on verra plus tard) (participation, soutiens…) on chante encore
tu vois les lettres sont en jaune (et le nom de la réalisatrice, graphiste à ses heures) (ou l’inverse)
le titre – c’est parti, on va cesser de chanter (mais dans le film, quatre morceaux de musique des années passées) (pour les paroles, dans le même ordre d’état d’esprit que la première… : on n’en garde que (dieu merci) (comme disait ma grand-mère) peu (je l’aime toujours)) – on m’en a dit « mignon », « sympathique », « très joli » – d’accord (en cette occurrence, mon avis est absolument désintéressé – je le trouve marrant et vraiment bien fait (j’aime beaucoup les travelling avec mobylette par exemple)) puis on m’en a aussi dit « fin, subtil, délicat » – mais voilà, le film se termine : générique de fin (j’adore aussi cette façon) – dans le rôle de la mère de Julien
(parfaite) – revoir les actrices/acteurs et les identifier – se souvenir – dans celui du père à Julien
(tellement bien – et dans sa voix off dans le supermarché et dans son dernier plan…) – puis Caroline jouée par la chanteuse aussi
et enfin Julien
(par le fils petit presque d’une amie) (très bien ensemble, tous les deux) et puis tout le personnel
ah non, une fois encore le titre (carton rose)
voilà pour les acteurs/trices (l’ordre m’importe cependant) (les minuscules et les majuscules aussi) (six femmes, quatre hommes) – puis ici les techicien.nes (deux assistantes réal quand même – deux assistant.es caméra aussi) (non, mais ça en dit un peu sur le budget c’est tout)
continuons (dix femmes sept hommes) (production et post-production)
(10/12) pardon une équipe de préparation aussi (2/7) (total : 28/32) – puis les moyens techniques via les fournisseurs
(générique graphisme dû donc à la réalisatrice) et cetera
et donc les quatre chansons (outre la musique plus ou moins additionnelle) qui, si on récapitule sont des interprétations du boys-band; de Ménélik (bonjour le sexisme mais osef : c’est du rap…); de Francis Cabrel (comment te dire…) ; et enfin de Larusso (elle la chante un peu plus hystérique, faut reconnaître, que la Caroline ici) – remerciements un (un certain nombre de prénoms seulement : iels se reconnaîtront – je souligne le « ma famille » qui ne lâche jamais l’affaire)
remerciements deux (les lieux de tournages – l’hyper U de Douvres-la-Délivrande; la piscine de la presqu’île de Lillebonne, entre autres)
et encore le carton financeurs quand même si jamais on n’a pas encore percuté (le visa, l’isan, le copyright : les droits)
Partir un jour, un film (court mais vraiment bien) d’Amélie Bonnin