neuf secondes d’ombres qui passent sur le mur de ma chambre ne sont rien de plus que neuf cent « petits riens » dont je ne me souviens bien que si je ferme les yeux, et te revois. là. là. comme lors de chacun de mes jours depuis ces trois années.
hymne à Toi, Maryse, et à ton attention à chaque « petit rien ».
et lire et lire et lire http://semenoir.typepad.fr. « magnifique#lire », c’est de Toi, Maryse.