dispersion 17

 

 

c’est cette façon de ne rien faire tout en faisant trop – faire vivre le site, avancer et ne pas (trop) penser à ces choses qui arrivent, qui vont bien finir par arriver – ne pas attendre, ne pas se laisser entraîner au fond, vivre enfin

Un jour, tu verras, je mettrai au point l’index des articles – « un jour tu verras » c’est une si belle chanson – il ne faut pas se laisser aller, il faut se tenir
Peu de choses, l’agent fait son travail. Il se trouve dans l’entrée, puis passe au bureau. Il a des choses à faire,réviser ses mots son langage ses appréciations son argumentaire ses questions –

un article qui date de 2011 mais OSEF – il ne relate que le crachat dont aurait été victime Mankiewicz de la part d’une Katharine Hepburn ce qui ne ressemble pas tellement à la bestiole (c’est d’un vulgaire), mais après tout peut-être (n’est-ce pas l’un de ses plus grands rôles – avec celui tenu dans African Queen (John Huston, 1951) – je (me) rappelle qu’elle était de 7, Jo était de 9, et Huston de 6) (c’est juste pour fixer les idées – le temps passe et court)

un emplacement dans un cimetière – Stéphane  Audran (aka Colette Dacheville dixit wiki) – dans ce cimetière (Tolla, Corse-du-Sud) dominant un lac que ses restes (s’il se peut) aperçoivent de l’intérieur d’une tombe de marbre rose – ici on prépare, on répare, on bosse

espèce d’indiscrétion – personnage public – le contraire de privé, est-ce public ? ou professionnel versus privé ? – on tient à sa biographie (je l’aimais beaucoup, surtout dans ce film, Le festin de Babette (Gabriel Axel, 1987)

et deux images glanées dans le magazine aux mots croisés duquel on s’amuse – ici une image des deux premiers rôles du dernier film de Tony Gatlif, Tom Medina (2021) -lui, il est de 48, à Alger) (vraiment bien) – ici, on a posé quelques images de Josef Koudelka, je me souviens –

Slimane Dazy et David Murgia dans les rôles

puis ici un peu de catastrophisme c’est important pour faire passer le temps (il n’y a pas le point désolé) (il est assez inutile, j’édulcore (il y aura une légende) et tout le monde l’a reconnue)

la cathédrale Notre-Dame de Paris en flammes, le 15 avril 2019

enfin une photo d’archive (au premier plan, j’ai l’impression le croisement rue du Renard rue Rambuteau) (début 70 je suppose aussi)

2 réflexions au sujet de « dispersion 17 »

  1. et contrairement à ce que je disais il y a une minute sur le week-end, suis venue et j’ai dégusté (oui le Festin et pas que.. et Koudelka même si connais pas tant)

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