Résister (Anna Magnani 2)

 

 

je crains la redite mais c’est égal tant pis – déjà le meurtre de cette femme, en pleine rue, a été posé ici – déjà (et à des reprises nombreuses) ce verbe « Résister » s’est imposé ici – continue m’abjuré-je (oh là) (du verbe s’abjurer) (?) – je suis donc tombé au hasard sur huit images – les voici (il a fallu les capturer – dimanche prochain comme le suivant, dans les rues, on marchera contre la loi scélérate dont on sait qu’elle viole la constitution de ce pays – on le sait, on la vote – quand même… Qu’est donc devenu l’état de droit ?) 
Résister.

 

il y a quelques minutes, elle a flanqué un coup à un soldat allemand (elle, c’est Pina) et voilà qu’elle a vu Francesco s’en aller – il s’agit d’une rafle, c’est la guerre, peut-être sur sa fin, c’est à Rome – on emmène son homme, elle crie, elle crie et court et la voilà qui sort dans la rue

elle court, elle crie – le camion s’en va (il me semble me souvenir qu’il y a là le contrechamp, Francesco dans le camion qui tente de se lever, qui est rattrapé tenu empêché par ses compagnons) – elle crie « Francesco ! »
on tire

elle tombe

elle meurt

son fils se précipite (il est garçon d’honneur)

lui aussi hurle

elle meurt, il pleure

elle est morte

le prêtre la bénit –

plus tard, il subira le même sort.

 

 

qu’est-ce que tu penses ? une allégorie de la république ? une personnification, Anna Magnani qui joue Pina, de ce qui se passe – le coup de feu qui part et tue on ne sait d’où (ou on le sait trop bien). Résister.
En dédicace à Zineb Redouane et à toutes celles et ceux, mort.es estropié.es énucléé.es blessé.es dans cet état dit « de droit ». Résister.

 

Rome ville ouverte, un film de Roberto Rossellini,1945

 

  • Anna Magnani : Pina, une veuve au chômage sur le point de se remarier
  • Vito Annichiarico : Marcello, le petit garçon de Pina
  • Aldo Fabrizi : Don Pietro Pellegrini, un curé romain résistant

 

L’image d’entrée de billet est due à madame Célérier, qu’on remercie .

 

 

 

chambre 12, Hôtel de Suède – distribution

 

 

 

toute notre gratitude à l’Employée aux écritures pour nous avoir fourni (par la poste) le lien vers le site qui permet le visionnage de ce beau documentaire 

 

Lorsque j’ai entendu dans le film le réalisateur au bout du fil (entre parenthèses, gardons confiance dans la réalisation pour nous affirmer que c’est lui qui est au bout du fil) répondre : « non mais vous rêvez non » sourires puis raccrocher après un « voilà au revoir »

« pourquoi je rêve ? « , demande l’interlocuteur, ici penché en avant, « dites-moi pourquoi je rêve » quand même ce serait Jean-Luc Godard, je me suis dit mais comment veux-tu qu’il réponde ? est-ce qu’on sait jamais pourquoi on rêve ? sinon pour ranger les souvenirs, dormir tranquille et reposer un peu cette pensée toujours en travail… Il y a cette image de « jeunes gens insouciants »

(bof) (on est août 1959) (je regarde ces images et je vois de loin Otto Preminger qui maltraite ses actrices; je vois, de loin encore, le même Jean-Luc Godard qui ne veut pas parler avec Marina Vlady (premier rôle de Deux ou trois choses que je sais d’elle – récemment en poème/express*875) sinon par micro et oreillette interposée) je regarde le générique d’un des films qui fera croire au reste du monde qu’existe une « nouvelle vague » cinématographique en France (une « bossa nova » au Brésil), alors voilà pour dire avant qu’il ne commence, ces jours-ci, ces temps-ci, à quoi ressemble le décor (ici en 2010 – légèrement difforme par la grâce du robot

là avant hier

) alors qu’on nous informe dans le (télé)film que l’hôtel va être détruit dans les huit jours (on s’en fout, je reconnais – ça donne une caractère d’urgence, de fatale destinée à l’enquête) et puisque cette maison reste témoin de ces agissements-là, alors pour la troisième fois ici (deux autres : ici et ) , le générique – il s’agit d’un téléfilm comme on dit

il date de 1993, semble-t-il (bouquinistes, mais pas de Notre-Dame) au son, les cinq notes dues à Martial Solal qui inondent littéralement le (télé)film (on croirait du Georges Delerue, c’est pour te dire…) (magistrales) (ça rime…)

un type arrive au volant d’une merco – l’hôtel s’appelait de Suède, c’est joli (ça me fait penser à Ingrid Bergman, qui envoie une lettre à Roberto Rossellini) c’est le générique de début

rien de spécial (Xavier Villetard joue probablement son propre rôle (ça veut dire quoi, » joue son propre rôle »  dis-moi ?) je crois que Claude Ventura fait la voix off

c’est ainsi que se déroule le (télé)film, une heure vingt de recherche (à voir encore je crois un moment ici) de rencontres, d’entretiens, un documentaire dont le sujet serait les relations qu’entretiennent le producteur et le réalisateur d’un film qui deviendra, sans qu’aucun d’eux en sache quoi que ce soit, une espèce de parangon de cette « nouvelle vague » – j’ai réalisé pas mal de « captures d’écran » comme on dit (capture d’écran ? ça veut dire quoi, capturer un écran… ? nous avons besoin des mots),  je les poserai plus tard ici, et puis voici les cartons du  générique de fin –

on ne dispose pas de celui de « Fin » sur l’écran – il n’y en a pas – Xavier Villetard attend pour traverser, devant le quinze du quai Saint-Michel (je préfère le mot toponyme, juste avant, de Montebello)

et puis c’est en noir et blanc – sonore – avec

tout ce monde interprète son propre rôle (réalisateurs, assistant, opérateur de prises de vue, acteur : pas une femme tu remarqueras) (je ne suis pas certain qu’ils soient cités dans l’ordre d’apparition à l’image)

ici deux femmes, la monteuse et une actrice (à laquelle, dans le film À BOUT DE SOUFFLE le Poicard fauche de l’argent, au début de ses pérégrinations) (Jim Palette ? je ne sais qui…) (seulement sa voix ?)

personnel télévisuel plutôt (on se perd en conjectures : jouent-iels leur propre rôle ?)

en tout cas image arrêtée (ou alors un autre, celui de leur profession?)

(l’accent grave sur le A tu repasseras) et puis

seul sur le quai

une esthétique des années soixante – À bout de souffle se dit Breathless en anglais – sans respirer – la suite au prochain numéro…

 

Chambre 12, Hôtel de Suède, un documentaire (donc) (télévisuel…) de Claude Ventura

 

 

Album (dispersion,… ) (7)

 

 

 

 

sait-on jamais ce qu’on est en train de faire ? je regardais ces images, un jour, j’ai continué (j’ai dû découvrir – si ça se trouve – une pile de magazines dans un coin (se fut-il agi de « Lui » ou autre joyeuseté plus libidinale, y aurais-je attaché (tant d’) importance ?) (je veux dire 7 billets, ça commence à faire) (je vais te créer un lien, t’en fais pas) (les visiteurs, les futurs acquéreurs, les passants, les oisifs (qu’ils – ou elles – soient femelles ou mâles) (on s’y perd, hein) les intéressés, les habitués et autres ectoplasmes planant dans les parages du lotissement ne m’en voudront pas, j’espère : je ne garde que ceux (et celles) que j’aime) (quoique parfois, je cède à l’actualité mienne) il y avait le goût du décor (comme au cinéma : longtemps ici, je parlerai encore de cinéma – notamment « Mon cher enfant », sans doute la semaine prochaine – on posera le billet quelque part entre la cuisine (où la famille s’alimente) et la chambre – dans le salon, le père consulte internet et facebook – mais nous verrons) – je récapitule, sur les oreilles je porte casque diffusant une musique que j’aime (rien ne peut, jamais, se passer sans musique) (je veux dire au cinéma – le film sans musique, c’est presque une honte – par exemple les frères Dardenne (qui produisent pour partie ce « cher enfant ») n’en posent guère dans leurs réalisations) – « Shine on you, crazy diamond » chante le groupe – et c’est ainsi que je commence

 

la légende est inutile (quoi que je ne sache pas qu’on reconnaisse ici le garçon) (je pose une étoile (*) laquelle renvoie à l’énoncé du nom de l’artiste – je ne vois pas qu’on le reconnaisse sur l’image)

je n’ai lu que peu de choses sur cet Anthony-là (je l’ai adoré, pratiquement, dans la Strada (Federico Fellini, 1954) ( la verve et la grâce de Zorba le grec (Michael Cacoyannis 1964))

les images viennent dans un ordre que je connais pas (il n’y en a pas) – ici, je reconnais que l’affaire est tremblée (ils sont sept et mercenaires (John Sturges, 1960) toute ma jeunesse sans doute (je l’ai vu au Pax) (la musique magique) – en numéro 2, Steve McQueen, avant dernier en noir Robert Vaughn – en premier le chauve Yul Brynner (et les autres, Charles Bronson, James Coburn (sans doute le dernier, là), Brad Dexter et Horst Buchholz) (c’était à A., rue des Otages, l’immeuble a été détruit, remplacé par un commissariat de police (partout et justice nulle part) (je dis ça pour aujourd’hui, 19 mai où ça défile dans la rue, envie de gerber) ici un chanteur

le premier (*) chanteur (ils font le même métier) était Julien Clerc – ici on a droit à Gérard Manset – (son Manteau Rouge) ah bah

Jacques Audiard (on vient de voir Dheepan, palme d’or à Cannes en 2015 – c’est pour ça – mais cette conjonction qui me fait frémir : le carnage de Charlie hebdo, de l’Allée verte Nicolas Appert en janvier : où en était-il, en montage ?) (entendu parler avec Michel Ciment) (et non, je ne l’aime guère – tant pis) un autre chanteur, Rachid Taha

(on aura remarqué que : 1. la nappe de la table de la salle à manger de la maison[s]témoin est jaune (il s’agit d’une toile cirée); 2. il n’y a encore que des représentations mâles)

hasard objectif, voici Simon Abkarian (qu’on avait aimé dans Djam) (Tony Gatlif, 2017) (un film gréco-turc…)  (un de mes héros que je croisais au tabac qui fait le coin de la petite rue (en impasse donc) où on trouverait un musée de la poupée – vers Rambuteau (impasse Berthaud) – s’il venait à l’idée saugrenue d’en rechercher un) un type extra – et voici, extra aussi, une réalisatrice, dessinatrice

on l’aime beaucoup, Marjane Satrapi (Persepolis, entre autres – prix du jury, Cannes 2007)

Léo et sa musique – je croyais que c’était à Monte-Carlo (où il naquit) mais non – c’est à Montreux – de la même manière je confonds : pour Marjane je pensait qu’elle était l’auteure (elle en aurait été tout à fait capable)  des Hirondelles de Kaboul (mais c’est Yasminha Khadra) (réalisé ciné d’animation par Zabou Breitman)

ah la la Maria Casarès… (après ça va être difficile, hein Mélanie…pfff)


ici dans le rôle de Marguerite (alors Antelme) Duras dans « la Douleur » (faut que je le lise, ça fait partie des  obligations) porté à l’écran (comme on dit) par Emmanuel Finkiel, (2017) mais je ne l’ai point vu – dommage ? je ne sais…

un chanteur, Christophe, « les mots bleus » et les autos de sport – salut l’artiste

et puis Blaise Cendras (cette image, ce visage qu’on ne connait que peu) (si tu veux que je te dise, c’est surtout pour ça, ces images, pour les reconnaître si par hasard on les croise) (dans la rue, ou au cinéma) (juste pour savoir que ce sont elles et eux)

quelque chose de la Révolution incarnée (on l’aime assez, encore, Adèle croisée aussi au bar-tabac de Jourdain, un jour – qu’est-ce que ça peut faire ?)

c’est Ingmar Bergman photographié par Irving Penn (merveilleuse image hein) (fait penser à ce matin où j’écoutai, avec le café, une photographe qui disait que « les stars n’aiment pas la photo » – elle les traque – comment aimer un prédateur ? comment vivre sans image de soi, aussi, quand on est actrice (ou teur) chanteur (ou teuse) – il faut fermer le poste avant sept heures moins cinq en vrai) – et puis

Marceline (Loridan Ivens) qu’on a déjà vue ici (ça ne fait rien) – et pour finir, l’une de mes héroïnes (il en est d’autres, mais elle, Anna Magnani…) (dans la Voix humaine, texte de Cocteau pour le théâtre – mise en scène Roberto Rosselini, 1948, première partie de L’amore)

magique

 

la photo d’entrée de billet est de Denis Pasquier.

 

Les divers billets (au nombre de six) qui constituent cette dispersion se trouvent ici.

 

un peu d’histoire (personnelle) du cinéma

 

 

je suis tombé sans (vraiment) m’en apercevoir sur ce livre

rescapé * – je l’ai feuilleté, c’est écrit ampoulé et idéologiquement vicié. Ça ne m’a pas tellement étonné (j’ai porté cette image au groupe facebook intitulé « Marilyn everywhere », t’inquiète). Ce sont les images et à quoi elle réfèrent qui m’ont parlé (les images parlent, c’est pas comme les mots – ou enfin certains oui – mais les images renvoient répètent transcrivent transforment travestissent et finissent pas trahir – bon d’accord, comme les mots…). Il s’agira ici de ce sens-là.
En fin de volume, une date

l’état du livre est à l’avenant – cinquante-cinq ans, des déménagements des multiples transports lectures peut-être etc. –

bah passent les jours passent les semaines  – ici la quatrième de couverture comme dit la wtf doxa

laquelle reprend les réalisateurs et les titres (et les années de réalisation) des films dont on ne voit qu’une image sur la première de couv (eh oui). Et donc, entre ici en cette maison[s]témoin ce qu’on pensait devoir montrer du cinéma parlant en 1965 (dans le livre de poche, certes; le copyright en date de 1964

abjecte maison d’édition d’extrême droite ça va bien avec le reste – à vomir) (à se demander pourquoi, sur les recommandations de qui cet ouvrage a été acheté – j’ai vaguement idée de cette affaire-là mais n’importe)

 

Et donc on reconnait (de haut en bas)

l’Ange bleu (Joseph von Sternberg,1930)
Quai des brumes (Marcel Carné, 1938) (j’aurais dit La Chienne de Renoir (1931), mais n’importe – il y a une autre photo du Quai des brumes plus bas…) (ou alors Panique Julien Duvivier, 1946) (ça m’a tout l’air de ressembler en tous les cas à Michel Simon)
Le voleur de bicyclette (Vittorio De Sica, 1948)

Zazie dans le métro (Louis Malle, 1960) (en couleurs)
Fenêtre sur cour (Sir Alfred, 1954)

Le Dictateur (Charles Chaplin, 1940)
À bout de souffle (Jean-Luc Godard, 1960)
Jules et Jim (François Truffaut, 1962)

La Bête humaine (Jean Renoir, 1938)
Autant en emporte le vent (Victor Fleming, 1939 – un petit M.G.M en bas)

Le Guépard (Luchino Visconti, 1962)
Ivan le Terrible (Serguei Eisenstein, 1945)
Le Septième sceau (Ingmar Bergman, 1956)

Rio Bravo (Howard Hawks, 1959)
À nous la liberté (René Clair, 1931)

Tchappaiev (Serge et Georges Vassiliev, 1933)
Old man out (Sir Carol Reed, 1947)
Citizen Kane (Orson Welles, 1941)

La  Bataille du rail (René Clément, 1945)
Hiroshimamon amour (Alain Resnais, 1959)
Les Misfits (John Huston, 1961 – NJB aka MM en couleurs)

À l’ouest rien de nouveau (Lewis Milestone, 1930)
La Strada (Federico Fellini, 1954)

Païsa (Roberto Rossellini, 1946)
West side story (Robert Wise- Jérôme Robbins, 1961 petit Artistes associés)
Et Dieu créa la femme (Roger Vadim, 1956 en petit Cocinor)

Quai des brumes (Marcel Carné, 1938)
Le diable au corps (Claude Autan-Lara, 1947)

et enfin La Strada (deuxième apparition parce que Giuletta) (Federico, 1954)
Les raisins de la colère (John Ford, 1940)

il s’agit d’un texte intégral (tiens encore)

(ça a du bien faire mal quelque part à cette enflure d’auteur de voir qu’il y avait là « Le Dictateur » et autres « Les raisins de la colère » mais peu importe encore) – ce qui m’importe plus ce sont les films choisis sur cette couverture ( je les ai tous vus) (je n’y vois pas Kubrick encore…) – et on trouve vingt huit images (je pense vingt huit films différents, mais vingt-sept titres : c’est une erreur) (mettons qu’il s’agisse de Panique de Julien Duvivier) et : (pas une seule femme)

onze réalisateurs français
huit réalisateurs étazuniens
quatre italiens
deux russes
un Anglais
un suédois

une vision assez centrée d’un certain cinéma d’occident (disons) (un tropisme).
Par ailleurs, comme rappelé dans la note*, l’un des deux auteurs fut passé par les armes en février 45 – il ne connut que peu les suites épiques du cinéma : on s’en fout, oui.

 

 

* Bien qu’il ait été écrit pas un couple de crevures (je ne vois pas d’autre mot, et il n’est pas trop fort, non) (ils sont morts tous les deux, ils étaient beaux-frères, fachos antisémites immondes) (l’un (brasillach) a été exécuté en février 45 – pas pu être sauvé par nombre d’amis intellectuels de sa corporation (les littérateurs) qui demandaient à De Gaulle sa grâce – l’autre a vécu des jours heureux – un peu comme cette pourriture de destouches/céline (sans majuscule) – jusque ses plus de quatre-vingt dix ans (la vie n’est pas très pertinente, il n’y a pas à dire)), voilà un livre dont la couverture vaut pour la maison[s]témoin, afin de lui donner quand même quelque chose comme une histoire (fut-elle celle du cinéma) (dans cette maison, on aime le cinéma, va savoir pourquoi…). Il date de 1965, ça nous rajeunit ? Voilà cinquante cinq ans. Je l’ai retrouvé ici (je suis en villégiature) il ne m’appartient que peu – il y a, sur la page de garde, tracées au stylo bille bleu, certaines initiales. C’est un rescapé de ma maison qui brûlât de fond en comble il y a cinq ans de cela : une de mes filles, armée de valises et de sacs eut le courage, dans l’horreur de cette réalité, de sauver quelques uns des livres des bibliothèques (je n’ai pas compté, mais il y en avait pas mal – et de livres je crois quelques milliers). Ce qui m’a permis de revoir (en rêve éveillé, comme Desnos Robert, l’un de mes poètes favoris) certains films de cette histoire-là. Sans plus de raison, un témoignage de mes débuts en France…

 

(en image d’entrée de billet, Albert Finney dans Samedi soir dimanche matin (Karel Reizs, 1960), une merveille de cette époque-là – le héros, c’est un peu moi en maison[s]témoin sur mon clavier, lui sur son établi…)