Partir quand même

  le titre du billet est aussi celui d’une chanson de Françoise Hardy (bof)  L’image d’ouverture appartient au film   générique commence à devenir une espèce de série (y’en a déjà trois) (ça fera quatre) dans cette maison (quand même en serait-elle témoin) ça ne peut pas nuire, je suppose, mais ça fatiguera sans doute – … Continuer la lecture de Partir quand même

Partir

      un jour je m’interrogerai sur le matériel dont je me sers pour illustrer ces billets (qui est celui dont on dispose auprès des distributeurs, et donc destiné à être exporté auprès des publics potentiels putatifs conditionnels ou hypothétiques ou j’en sais rien) (il s’agit de science du marketing – le cinéma en … Continuer la lecture de Partir

épisode 21 – jardin

      Il y avait un jardin attenant à la maison il y a dans les projets l’un d’entre eux qui se nomme VIVRE sans majuscule qui est censé paraître (ou apparaître) le jour des quatorze lustres de l’auteur (quatorze lustres, c’est long – et ça passe comme un rêve) – ici il s’agit … Continuer la lecture de épisode 21 – jardin

d’un rivage à l’autre – épisode 18

  ce texte, écrit suivant une consigne de l’atelier d’écriture hiver 22 de François Bon, tente d’élucider la réalité d’une des maisons de l’enfance (au vrai de deux, sauf que quand je connus la seconde, je n’en étais plus un, d’enfant) – c’est en cela qu’elle constitue un épisode du raku élaboré ici et auquel … Continuer la lecture de d’un rivage à l’autre – épisode 18

épisode 6, le miroir

. . . Dans ma maison d’enfance, dans ma chambre d’enfance il y a un miroir. Il est rectangulaire, placé fort à propos sur un angle du mur sous lequel est caché le gros tuyau de la chaudière qui remonte du sous-sol avant de longer le plafond en ouvrant sur chaque pièce une bouche ronde … Continuer la lecture de épisode 6, le miroir

quatorze (assez familiale)

      quand on en aura fini, on passera à autre chose-ainsi pour le moment voici – des mois et des mois d’images – une histoire du personnel de la boite cinéma et chansons je suppose – Gilberto Gil (à droite) et Caetano Veloso (c’est l’autre) des gens qui ont fait de leur vie … Continuer la lecture de quatorze (assez familiale)

Carte postale

      souvent quelques difficultés à nommer les choses – alors l’euphémisme – prends des détours – parle d’autre chose – il y avait tout au bout de la baie on l’aperçoit à peine, un petit point blanc « à une heure » dirait je ne sais quel aviateur, tu le vois vladje ? il s’agit … Continuer la lecture de Carte postale

on se disperse

      allons donc, voilà qu’on a retrouvé quelques journaux (des hebdomadaires) dans la cave ou le garage (je ne sais pas bien – il n’y a pas de cave tiens – ah si) (ce sera là, donc) (il y a même un cellier si tu veux voir – on s’emmerde pas dans cette … Continuer la lecture de on se disperse

Elles deux

          qu’est-ce qu’on devient ? je me souviens que lors de la séance de cinéma (une séance de cinéma, tu te souviens ?) il y a au début un souvenir – quelqu’un, une amie, qui disparaît – et je me disais ce mail (une espèce de jardin, je crois vers, Mulhouse … Continuer la lecture de Elles deux

la bascule, les cloches et les lapins géants

  Donc oui, c’est ce que je me suis dit, j’ai assisté à une bascule. J’étais dedans, et même active à basculer avec les autres, parce qu’on ne savait pas, on n’avait pas de recul, tu sais comme c’est, on vit des choses et les jours passent, on écope, on avise, on improvise avec les … Continuer la lecture de la bascule, les cloches et les lapins géants