Partir quand même

  le titre du billet est aussi celui d’une chanson de Françoise Hardy (bof)  L’image d’ouverture appartient au film   générique commence à devenir une espèce de série (y’en a déjà trois) (ça fera quatre) dans cette maison (quand même en serait-elle témoin) ça ne peut pas nuire, je suppose, mais ça fatiguera sans doute – … Continuer la lecture de Partir quand même

Partir

      un jour je m’interrogerai sur le matériel dont je me sers pour illustrer ces billets (qui est celui dont on dispose auprès des distributeurs, et donc destiné à être exporté auprès des publics potentiels putatifs conditionnels ou hypothétiques ou j’en sais rien) (il s’agit de science du marketing – le cinéma en … Continuer la lecture de Partir

TDEDULP spéciale dédicace Perec #42

    toi qui entres ici (comme dans un moulin) une image par minute et plus pour tenter d’épuiser ce carrefour – pour ne pas oublier, jamais – vive la vie vive l’espoir installation – commande (un kir à 5e50 quand même) (on ne plaisante guère au Carillon) un carrefour de mémoire terrifiante – c’était … Continuer la lecture de TDEDULP spéciale dédicace Perec #42

Nous appelons ça la nuit

          parfois le chemin est tellement escarpé qu’il est bon de regarder un peu ailleurs – au téléphone un de mes amis hospitalisé – un autre disparu dans la nuit du 4 août -encore un fauché par le crabe voilà près d’un an – parfois les choses ne vont pas comme … Continuer la lecture de Nous appelons ça la nuit

Beau comme le monde

  image d’entrée de billet : le port refuge de l’épave   les prises de vue sont réalisées à partir d’un téléphone portable – il s’agit d’un dispositif créé pour l’occasion d’un atelier d’écriture – « créé » est un peu trop dire – en tout cas à la faveur d’un abonnement offert au claviste/rédacteur au canard … Continuer la lecture de Beau comme le monde

épisode 21 – jardin

      Il y avait un jardin attenant à la maison il y a dans les projets l’un d’entre eux qui se nomme VIVRE sans majuscule qui est censé paraître (ou apparaître) le jour des quatorze lustres de l’auteur (quatorze lustres, c’est long – et ça passe comme un rêve) – ici il s’agit … Continuer la lecture de épisode 21 – jardin

d’un rivage à l’autre – épisode 18

  ce texte, écrit suivant une consigne de l’atelier d’écriture hiver 22 de François Bon, tente d’élucider la réalité d’une des maisons de l’enfance (au vrai de deux, sauf que quand je connus la seconde, je n’en étais plus un, d’enfant) – c’est en cela qu’elle constitue un épisode du raku élaboré ici et auquel … Continuer la lecture de d’un rivage à l’autre – épisode 18

épisode 6, le miroir

. . . Dans ma maison d’enfance, dans ma chambre d’enfance il y a un miroir. Il est rectangulaire, placé fort à propos sur un angle du mur sous lequel est caché le gros tuyau de la chaudière qui remonte du sous-sol avant de longer le plafond en ouvrant sur chaque pièce une bouche ronde … Continuer la lecture de épisode 6, le miroir

quatorze (assez familiale)

      quand on en aura fini, on passera à autre chose-ainsi pour le moment voici – des mois et des mois d’images – une histoire du personnel de la boite cinéma et chansons je suppose – Gilberto Gil (à droite) et Caetano Veloso (c’est l’autre) des gens qui ont fait de leur vie … Continuer la lecture de quatorze (assez familiale)