Rois du monde

      ce sont presque encore des enfants – le plus âgé prénommé Ra sans doute le héros, hérite d’une terre appartenant à ses grands-parents – volée par les paramilitaires colombiens, puis aujourd’hui restituée c’est une chance, pense-t-il, et décide de s’en aller avec ses amis – ils seront cinq et tout sera dans … Continuer la lecture de Rois du monde

dispersion 18

      cette série à l’existence mitigée, se place dans des conditions sociales de production que l’agent ne maîtrise pas – elle vient, passe, s’arrête et recommence comme une espèce de chanson lente, saudade morna blues ce que tu veux – un moment passe, les choses à faire attendent, les financières comme les autres, … Continuer la lecture de dispersion 18

les jardins de Carthage

Le réalisteur, Youssef Chebbi.   Le film dont on parle ici était projeté dans une salle l’Espace Saint-Michel dont le directeur-gérant-exploitant vient de disparaître : Claude Gérard, à qui ce billet sera dédié, parce que c’est un homme qui a travaillé pour que le cinéma vive,dans toute sa diversité et notamment sa qualité politique. Qu’il … Continuer la lecture de les jardins de Carthage

Juste un travelling

      en réalité, ce que le cinéma prend pour de la promo(tion) (tout ce qui peut parler de lui est bon à prendre) n’en est pas dans cette maison (ou alors pour le medium lui-même) : l’idée même de promo(tion) répugne mais le consentement règne de nos jours – ventre mou, la culture … Continuer la lecture de Juste un travelling

y aller

      Image pour se souvenir   le mois dernier, le « film du mois » d’une association (Périphérie, pour ne pas la nommer, c’est basé à Montreuil-sous-Bois, c’est plutôt bon esprit mais ça ne répond pas, ni au mail ni au téléphone (attitude déplorable mais tellement contemporaine – tellement cinématographique aussi) donnait à voir un … Continuer la lecture de y aller

En salle

      c’est évidemment simplet – c’est du temps de Paul Anka ou des Chordettes – ou quelque chose de ce genre : quand le cinéma avait quelque chose de (disons) grandiose – les années cinquante, la couleur, l’entame le début déjà pourtant bien avancé de ce rêve américain – quelque chose de ce … Continuer la lecture de En salle

Carte postale des ciels

      elle mourrait si on ne la nourrissait plus – mais c’est qu’il n’y a rien à en dire non plus – aussi – des chroniques de cinéma, oui sûrement – un vieux film (il n’a que quinze ans) on trouvera peut-être des images – on se posera des questions, le dernier d’untel, … Continuer la lecture de Carte postale des ciels

Zahorì

      parfois me submerge cette idée que le cinéma, qu’est-ce que je peux bien y faire ? Je me suis fourvoyé et trompé d’amour à porter sur un art – je ferais mieux d’aller chanter quelque part sous-terre pour gagner quelque peu d’argent – je suis urbain -et pouvoir vivre (c’est vrai, c’est … Continuer la lecture de Zahorì