début mars (dispersion 4)

    illustration de la différence des genresCyd Charisse (elle est de 22 – au Texas) et Fred Astaire (en pantalon) (il est de 99 – à Omaha, Nebraska) (le siècle précédent) (non, c’est juste pour dire) (« Tous en scène » The Band Wagon (Vincente Minelli, 1953) – elle 31 ans, lui 54 – les rôles, … Continuer la lecture de début mars (dispersion 4)

dispersez-vous (3)

        c’est un peu à chaque fois la même chose, c’est l’émotion qui submerge, « alors au revoir à la prochaine » oui, c’est quand? « je reviens dans un mois » et les voilà partis – et dans un mois, personne ne sait ce qu’il en sera de nous – naviguer à vue ? peu … Continuer la lecture de dispersez-vous (3)

on se disperse (2)

    on continue ici l’exploration d’un tas de journaux hebdomadaires – on les feuillette et on les regarde et lorsqu’une image dit quelque chose, on la prend. C’est un flagrant délit, je reconnais. C’est égal, ce sont les vacances en un sens – j’aurais aimé partir mais non – il y a la maison … Continuer la lecture de on se disperse (2)

on se disperse

      allons donc, voilà qu’on a retrouvé quelques journaux (des hebdomadaires) dans la cave ou le garage (je ne sais pas bien – il n’y a pas de cave tiens – ah si) (ce sera là, donc) (il y a même un cellier si tu veux voir – on s’emmerde pas dans cette … Continuer la lecture de on se disperse

t’attends quoi au juste ? (JPR1)

    il s’agit d’un exercice difficile (et d’un travail en cours) – le livre dont il est question est profus; il traite par ailleurs de l’existence d’une personne décédée depuis plus de trente cinq ans; alors c’est pour ne pas oublier, c’est aussi pour se souvenir des contextes de ces années-là (les années 60 … Continuer la lecture de t’attends quoi au juste ? (JPR1)

Carte postale sans titre (jeudi)

      non mais il n’y a pas de cinéma (je lis une chronique d’un des participants du CLAN qui suggère d’inventer le mot « sousvivre » pour la période actuelle) (c’est assez exagéré – ça m’inspire un peu sous-homme de mémoire obscène et pourtant seulement du siècle dernier) il y a bien des écrans, ça … Continuer la lecture de Carte postale sans titre (jeudi)

Elles deux

          qu’est-ce qu’on devient ? je me souviens que lors de la séance de cinéma (une séance de cinéma, tu te souviens ?) il y a au début un souvenir – quelqu’un, une amie, qui disparaît – et je me disais ce mail (une espèce de jardin, je crois vers, Mulhouse … Continuer la lecture de Elles deux

les cigognes de Mikhaïl Kalatozov

          Parler de cinéma (soviétique c’est vrai) – une palme d’or en 1958 à Cannes – plus de soixante ans de ça, président du jury : Marcel Achard – la fin de la guerre date de treize ans – le lyrisme : par exemple ce plan, elle court elle court encore … Continuer la lecture de les cigognes de Mikhaïl Kalatozov

mais qu’attends-je ?

      On va revenir(retourner) au cinéma (quand on y retournera (reviendra), ou avant) (c’est extrêmement déplaisant de regarder des films dans l’étrange lucarne (de maçon) où on perd les trois quarts de la qualité des images – pour le son, c’est moins problématique, c’est parce que je suis plus tourné vers la vue … Continuer la lecture de mais qu’attends-je ?

mais qu’est-ce que t’attends ?

    Un index qui commence par Chantal Akerman ne peut pas être complètement inutile (vu qu’il s’agit d’une des cinéastes préférées du rédacteur, tous genres confondus). Je m’aperçois d’ailleurs écrivant cette italique que n’y figure pas la mère de l’auteure/trice (à moins qu’elle ait dicté les choses et qu’ensuite elles aient été mises en … Continuer la lecture de mais qu’est-ce que t’attends ?